Pourquoi le non est bon ?

Dire "non" peut-être difficile. Pourtant savoir refuser est essentiel pour préserver son bien-être, son temps et ses priorités.

DÉVELOPPEMENT PERSONNELASTUCES

Sophie Watremetz

10/30/20241 min read

Dans la société actuelle où nous vivons, nous sommes sollicités de partout sauf que notre temps est précieux et savoir refuser respectueusement est une compétence à acquérir pour préserver son temps, son énergie et ses priorités.

Dans cet article, découvrez pourquoi apprendre à dire « non » peut renforcer vos limites et vous aider à atteindre vos objectifs sans vous épuiser.

  1. Le "non" est la peur :

  • de perdre un client

  • être rejeté(e)

  • être jugé(e)

  • être égoïste

Ce n’est pas être égoïste de refuser, s’est s’affirmer, il faut pour cela connaitre ses propres limites

  1. Je pars du principe que si ce n’est pas un OUI pour moi, c’est un gentil non et c’est ok !!!

Si j’accepte un non pour moi : je vais faire quelque chose que je n’ai pas envie de faire, je ne serai pas contente de moi, pire je ferai un service médiocre et ça ce n’est pas envisageable.

😉J’étais comme vous, accepter des missions parce qu’il faut bien payer les factures, parce que je ne voulais pas blesser la personne, parce que, parce que … et puis, un jour, j’ai décidé que je ferai passer mon bien-être en premier.

Mon parcours dans l’immobilier m’a bien aidé, je vous l’avoue ; avec les formations de prospection (niveau non, on est à la bonne école 😅), j’ai appris à transformer le « non » en opportunités. Je me suis positionnée avec mes valeurs, qui je suis et c’est devenu facile.

📖J’ai aussi lu le livre de Richard Fenton : Non, c’est bon ! voici le lien pour le trouver https://amzn.to/48lT5Jj

  1. Savoir dire "non" respectueusement 

Il suffit de dire vos raisons (attention à ne pas partir dans des excuses à rallonge !), vous pouvez proposer une solution alternative s’il y en a une.

Ex. :  Merci de penser à moi, mais je dois décliner cette proposition car mon planning est plein. 

Essayez et vous verrez … quel soulagement puis quelle fierté d’avoir réussi à dire « non ».

Sophie Watremetz